La météo, c’est l’obsession des vacanciers. Et un enjeu colossal pour les activités économiques qui en dépendent (séjours, activités, mode, alimentation, etc.). À titre d’exemple, le marché de la pastèque et de la crème glacée dépend à 75% des conditions météo.
Les industriels de l’agro-alimentaire sont sur le pied de guerre pour adapter leurs produits aux changements climatiques. Et les professionnels du tourisme redoublent d’imagination pour aligner leurs offres et leurs prix en fonction du soleil et de la pluie. Sur le marché des prévisions météos, la concurrence fait désormais rage.
Météo France, chahuté par des nouveaux venus sur le marché, doit moderniser ses équipements pour conserver son monopole.