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Addendum 26 juillet : Nouvelle vidéo (la vidéo a été publiée aujourd’hui mais date bien de la semaine dernière)


Addendum 20 juillet : La manifestation pro-palestinienne interdite à Paris avait pourtant débuté dans le calme, samedi après-midi. Elle a dégénéré en scènes d’émeutes. Plus d’une quarantaine de personnes ont été interpellées, 17 policiers et gendarmes ont été blessés au cours de cette manifestation. Dix sept-personnes avaient été placées en garde à vue samedi soir.

(…) Le Parisien

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Le Direct (début de la manifestation à 15h)

Plusieurs vidéos des débordements ici


Le préfet de police de Paris, Bernard Boucault, qui a interdit une manifestation propalestinienne prévue samedi dans la capitale, appelle à ne pas se rendre au rassemblement, sous peine d’être interpellé, a-t-il annoncé à l’AFP.

“On maintient l’appel à cette manifestation, car la solidarité avec les Palestiniens doit pouvoir s’exprimer à Paris”, a affirmé à l’AFP Sandra Demarcq, membre de la direction du NPA, qui juge l’interdiction “illégitime et scandaleuse”. “On compte contourner cette interdiction. On va se rassembler à Barbès (ce samedi à 15h) et tenter de partir en cortège et de négocier avec les forces de l’ordre un parcours sécurisé”, a affirmé Alain Pojolat, membre du NPA, qui a négocié ces derniers jours l’organisation de la manifestation avec les autorités. […]

Le fait d’organiser un rassemblement interdit peut être puni d’une peine de six mois de prison, a rappelé samedi le parquet de Paris. L’article 431-9 du code pénal prévoit également 7.500 euros d’amende pour “le fait d’avoir organisé une manifestation sur la voie publique ayant été interdite dans les conditions fixées par la loi”.

“On connait les risques. Mais on considère que cette interdiction est une attaque contre un droit démocratique et élémentaire”, a réagi la porte-parole du NPA.

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A Paris, la préfecture prévoit un important dispositif de maintien de l’ordre et de protection des lieux de la communauté juive. D’autres manifestations ont été autorisées samedi à Lille, Nantes, Lyon, Saint-Etienne, Marseille et Montpellier. A l’instar de 44 défilés qui se sont bien passés en France jeudi. En référence à la commémoration du 72e anniversaire de la Rafle du Vel-d’Hiv dimanche, le ministre de l’Intérieur a déclaré sur Europe 1 que «la République n’est pas compatible avec la haine […] avec la xénophobie. L’antisémitisme ne peut pas parler une seconde fois parce qu’on sait ce à quoi il a abouti».

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Union de la gauche ultra et des bandes de banlieue

Les préfets ont reçu la consigne stricte de faire remonter toute information trahissant un regain de tension avec la communauté juive dans les départements. Les prêches dans les mosquées et les salles de prière notamment sont décortiqués au mot près. Et les «grandes oreilles», nom donné aux ex-RG, font tourner à plein les écoutes téléphoniques sur «les individus à risques». «Deux cents personnes environ», selon une source bien informée, qui explique au Figaro qu’une «attention particulière» est portée sur certains activistes politiques d’extrême gauche, suspectés de souffler sur les braises.

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