#Rotherham avait reçu l'award de la diversité en matière sécuritaire … pic.twitter.com/eVju5e37IA
— Pierre S. (@FrDesouche) August 30, 2014
Màj : l’un des agresseurs au coeur du scandale de Rotherham impliquant de très nombreux viols sur mineurs se vantait aujourd’hui de vivre «la grande vie» au Pakistan où il vit désormais depuis sa libération, laissant sa victime complètement désemparée.
Sick Umar Razaq – libéré de prison après avoir fait appel de la longueur de sa peine -(condamné en 2010 à 4 ans et demi pour viol sur mineur, sa peine a été réduite à 3 ans et demi et il a été libéré récemment) – a posté sur Facebook une photo de lui avec ses lunettes de soleil peu après s’être envolé pour le Pakistan.
[…] Des voisins ont vu Umar Razaq se pavaner avec arrogance dans le quartier (où 136 affaires de viols ont eu lieu) peu avant de quitter le Royaume-Uni après avoir purgé sa peine. […]
Source
Article du 27 août 2014 à 10 h 29 min
« La plupart des victimes dans les cas que nous avons analysé étaient des enfants britanniques blancs, et la majorité des auteurs appartenaient à des communautés ethniques minoritaires. »
Most of the victims in the cases we sampled were white British children, and the majority of the perpetrators were from minority ethnic communities. (Page 35, paragraphe 5.5)
Le rapport complet est disponible ici (Merci à Jean-Pierre 75)
Les abus sexuels d’environ 1.400 enfants par des “hommes asiatiques” n’ont pas été signalés pendant 16 ans, les services sociaux craignant d’être considérés comme raciste.
Un rapport publié aujourd’hui a révélé que des enfants, certains âgés d’à peine 11 ans, ont été victimes de trafic sexuel, battus et violés par un grand nombre d’hommes entre 1997 et 2013 à Rotherham dans le Sud du Yorkshire.
Et scandaleusement, plus d’un tiers de ces cas étaient déjà connus des services sociaux. Mais, selon l’auteur du rapport: «Plusieurs membres du personnel ont décrit leur nervosité à identifier les origines ethniques des auteurs de peur de passer pour raciste».
L’absence de rapports était en partie dû à la peur d’être raciste, la plupart des auteurs étant décrits comme des «hommes asiatiques», et beaucoup étant d’origine pakistanaise.
Source et Source
L’article du monde ne dit rien sur la nationalité pakistanaise d’une grande partie des coupables, ni sur le rôle que la peur d’être vu comme raciste a joué dans cet affaire. (Màj : Le Monde a maintenant mis son article à jour).