Ces attaques pourraient coïncider avec le 13ème anniversaire des attaques du 11/9/2001 contre New York et Washington, et le second anniversaire de l’attaque de l’ambassade américaine à Benghazi, au cours de laquelle 4 Américains avaient été tués, y compris l’ambassadeur américain Christopher Stevens.
Les avions auraient été dérobés à la fin août, lorsque la coalition de milices islamistes Farj Libya (‘Aube de la Libye’) a pris le contrôle de l’aéroport de Tripoli, situé à environ 30 km au Sud de la capitale Tripoli.
Des rapports des services secrets occidentaux évoquant une menace terroriste à la suite du vol de 11 aéronefs commerciaux. En conséquence, la Tunisie et l’Égypte, inquiètes que ces appareils puissent être utilisés dans des missions suicide, ont toutes deux interdit les vols en provenance d’aéroports libyens, et les armées de certains pays d’Afrique du Nord (Maroc, Tunisie, Algérie Égypte) ont été placées en état d’alerte. […] Michael Rubin, un spécialiste du contre-terrorisme de l’American Enterprise Institute, a rappelé que ces avions de ligne pouvaient constituer des armes redoutables: “Qui a besoin de missiles balistiques, quand on peut utiliser des avions de passagers ? Même vides, mais remplis de carburant, ils peuvent être dévastateurs. Chacun pourrait faire un millier de victimes, s’ils sont exploités pour optimiser leur effet dévastateur. » […] Express.be