Ce week-end l’ex président des USA Jimmy Carter assistait à Détroit à une conférence organisée par la Société Islamique d’Amérique du Nord (ISNA). Il a déclaré au public musulman présent dans la salle que “les principes d’Allah” ont été conçus pour “apporter la paix et la justice pour tous”. (Sic)
Mais Jimmy Carter n’est pas le seul à s’exprimer ainsi. Au fil des années, les responsables américains ont expliqué en vain aux musulmans quelle était la véritable nature de l’islam, avec le secret espoir de les convaincre sur le fait que l’Amérique était pour eux plus une amie que ce que pourrait l’être les islamistes radicaux.
Cette semaine Barack Obama a dit “ISIL ne parle pas au nom d’une religion”.
Eric Holder a quant à lui déclaré que l’islam radical n’était pas compatible avec les enseignements de l’islam.
Georges Bush a martelé pendant des années que les extrémistes islamistes ne représentaient qu’une infime minorité de la population musulmane.
C’est peut être vrai. Ou cela peut être faux. Ce qui est par contre parfaitement vrai est que les politiciens américains sont en grande majorité soit chrétiens soit athées et que donc ils sont beaucoup moins qualifiés pour parler de la nature de l’islam que les radicaux islamistes de ISIS.
Nous avons pu observer à travers différents sondages de par le monde, une montée de l’islamisme radical. L’occident a gobé le mythe du multiculturalisme au point maintenant, qu’il est devenu politiquement incorrect de condamner l’islamisme comme par exemple ce que s’est passé dans les événements de viols d’enfants en Angleterre.
L’ennemi auquel nous sommes confrontés, n’est pas une “infime minorité” de musulmans, déconnectée de la philosophie islamique. Ce n’est pas uniquement non plus, seulement quelques milliers d’occidentaux tentant de se joindre aux combattants d’ISIS. Ce sont des millions de musulmans, qui approuvent le même idéal, même s’ils n’approuvent pas la nature du groupuscule en tant qu’identité. […]
Traduction FDS de Breibart
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