Le père de Marine Le Pen s’est ainsi écarté de la position d’un des dirigeants du Front national, son vice-président Florian Philippot, qui avait assuré, mercredi 15 octobre, qu’il n’y avait “rien à sauver dans Vichy” et que la vraie France était à Londres pendant l’occupation.
“La grande différence, c’est que moi, j’ai vécu l’occupation, et lui, il en a entendu parler dans les films et les livres”, a répliqué celui qui est toujours président d’honneur du parti.
BFMTV – Bourdin Direct – 20/10/2014