Chronique de Bruno Roger-Petit :
Lire Zemmour et son “Suicide français”, c’est lire Rebatet et ses “Décombres”. C’est lire extrême droite. C’est lire le pire. La preuve en est administrée dans la dernière livraison du “Point”, dans la chronique de Patrick Besson. Et la démonstration est aussi implacable que redoutable.
eric
Dans le genre, le procédé utilisé par Besson (célébré sur Twitter par Guy Birenbaum, de France Info) est aussi simple que ludique. Il lui suffit de citer des extraits emblématiques des deux livres, “Les Décombres” et “Le suicide français”, et de présenter les choses sous forme de jeu :
“Règle du jeu : parmi les phrases suivantes, lesquelles sont de Eric Zemmour et lesquelles sont de Lucien Rebatet ?”
(…) Le Nouvel Obs
Zemmour-Rebatet, même combat comme le démontre Patrick Besson ou le parfum des années Trente…http://t.co/VJ9AYQOSbd pic.twitter.com/we8zmHGdEc
— Renaud Dély (@RenaudDely) October 30, 2014