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Chers amis, chers camarades,

Vous avez peut-être connu Génération Identitaire en voyant ces 80 jeunes debout sur le toit d’une mosquée à Poitiers en octobre 2012.
Sans doute certains d’entre vous ont pu se demander ce qui pouvait nous avoir amené jusque là… eh bien je vais vous raconter une histoire qui pourra vous aider à le comprendre.

Cette histoire, c’est celle d’un jeune Français de souche qui a grandi dans la France de l’après 98, dans une France qui ne l’aimait pas.
Lui qui était issu d’une famille si banale, ni pauvre, ni aisée mais divorcée, n’avait pas franchement d’intérêt pour la chose politique, qu’il observait en spectateur comme tous les jeunes de son âge.
Au fond de son cœur, il n’était pas honteux de son pays. Il ressentait parfois cette petite pointe d’orgueil patriote pendant les Jeux Olympiques ou lorsqu’il regardait à la télévision le défilé du 14 juillet avec ses grands-parents.

Mais c’est à son arrivée en 6ème au collège, qu’il prit soudainement conscience du caractère particulier de la vie qui l’attendait, mais aussi de qui il était vraiment.

Pendant les cours d’histoire il était un descendant d’esclavagiste.
A la pause, dans la cour de récréation il devenait un “Sale blanc”.
Lorsqu’il posait une tranche de jambon sur son plateau repas, à la cantine, il était un “sale céfran” qui provoquait les autres en « mangeant haram ».

C’est dans ces années-là qu’il découvrit que sa jeunesse entière allait devenir une perpétuelle lutte contre la racaille étrangère régnant en maître à l’intérieur comme à l’extérieur de l’établissement mais aussi sur les terrains de foot, à l’arrêt de bus ou dans la principale artère commerçante de la ville. Il comprit alors que toute sa vie, ses chances de survie en milieux hostiles ne dépendraient que de lui-même, de sa capacité à jongler entre dissuasion, diplomatie, solidarité et, parfois, réaction.

“Oui c’est sûr, à notre époque c’était moins dangereux, il y en avant moins mais tu dois faire, avec” relativisait sa mère. “Il faut apprendre à vivre-ensemble” disait son père.

Alors oui, il a du faire avec. Faire avec une société qui lui était totalement hostile, en haut comme en bas, à droite comme à gauche.

Il dut apprendre à se défendre, verbalement, physiquement.
Il dut apprendre à s’endurcir et à vaincre sa peur.

Un jour il découvrit qu’il n’était pas seul, mais qu’au contraire, ils étaient des milliers comme lui à subir un statut d’étranger indésirable dans son propre pays. Il s’est alors entouré d’amis qui vivaient la même chose. Avec eux il se sentait à égalité avec les bandes d’en face. Et ensemble, ces petits Français, ces petits blancs de banlieue, s’étaient promis de ne jamais se laisser faire. Plus encore, ils s’étaient engagés à ne jamais renoncer et comme tant de leurs aïeux, à tout sacrifier pour libérer leur pays, et offrir un autre futur que ce « mourir-ensemble » à leurs enfants. Ce qui les poussait dans cet engagement c’était le devoir. Déjà, si jeune, vibrait en eux le sentiment profond de responsabilité face à l’Histoire. Eux ou nous. La paix ou la mort. La vie ou la guerre.

Cette histoire vous l’avez déjà vécue, ou entendue, au moins en partie.
Cette histoire, ces millions d’histoires, ce sont celles de toute une génération de jeunes Français de souche.
Une génération qui n’aspirait qu’à vivre en paix à l’instar de la précédente.
Mais une génération qui va devoir faire face à un terrible affrontement ethnico-religieux.

Religieux oui, car il faut le dire, nous sommes la génération de la confrontation à l’altérité islamique.
Nous avons grandi avec, de manière incontournable, croissante.
Nous avons vécu sa montée en puissance, perçu ses symptômes, éprouvé sa force.
Nous avons été les témoins directs de son expansion conquérante sur le plan numérique et sociétale mais aussi du silence assourdissant, du poids du politiquement correct qui l’a accompagnée, couverte, couvée, protégée, ces deux dernières décennies.

D’abord les mosquées, puis le voile, puis le ramadam, puis le halal, puis les minarets, puis les cantines, puis l’aïd, puis les piscines, puis les financements étrangers et les subventions, puis les burqa, puis les prières de rues, puis les départs au djihad et les projets d’attentat.

Quelques chiffres, pour visualiser un petit peu :

1950 : 1 mosquée
2003 : 1545
2011 : 2052
Mai 2014 : 2390
Septembre 2014 : 2420 + 300 en projets.

Si on les aligne toutes, de Lille à Perpignan, on peut traverser la France avec une mosquée tous les 350 mètres.

(C’est aussi le moment de citer le nom de quelques grandes stars, Mohammed Merah, Khaled Kalkhal, Medhi Nemmouche.)

Et tout cela, tout ce processus de modification culturel de notre environnement, tous ces symptômes, ces preuves du développement expansif d’une masse musulmane tout cela s’est mis en place juste à côté de nous, à côté de moi.

C’est ainsi que ma route a croisé celle d’Ali, sur les bancs d’un lycée de Villeurbanne.
Ali, marocain, a été mon voisin jusqu’en terminale, dans une classe où j’étais bien sûr le seul non-musulman. Il a échoué au bac, nos chemins se sont séparés et je ne l’avais jamais recroisé depuis.
Jusqu’à ce qu’un matin de Janvier 2013, en ouvrant le journal je le reconnaisse. Il venait d’être expulsé de France après avoir participé à des projets d’attentats via le groupe islamiste Forzanne Alizza. Un projet qui visait notamment les Identitaires.
Un militant identitaire et un apprenti djihadiste sur le même banc d’école.
Les joies du hasard direz-vous ? Et bien finalement pas tant que ça. Car au fond nous le savons bien, dans notre génération 18-25 ans la seule minorité musulmane qui existe, c’est la modérée.
Je ne vois pas pourquoi, comment, par quel miracle, la tendance s’inverserait à l’heure où les djihadistes français se bousculent dans les aéroports, que ce soit pour sortir ou pour revenir d’ailleurs.
A l’heure où ils sont des centaines de milliers à défiler pour leurs « frères palestiniens » A l’heure où ils sont des dizaines de milliers à se rassembler chaque année pour le congrès de l’UOIF au Bourget, et des dizaines tout court à manifester pour dénoncer l’assassinat d’Hervé Gourdel !

Mais si nous parlons d’islam, parlons avant tout d’immigration.
Car ne l’oublions pas, au commencement était l’immigration.
Sans immigration massive pas d’islamisation massive !

Et qu’on arrête de nous bassiner avec les convertis : s’il y a des convertis c’est d’abord parce qu’il y a des quartiers où les musulmans sont majoritaires !

C’est bien cette immigration immersive, puissante, intarissable qui est à l’origine de l’islamisation du pays. Une immigration folle qui jongle avec les zéros et se rit de toutes les lois. Une immigration qui n’aura bientôt plus rien à substituer ou coloniser si nous n’agissons pas.

D’ailleurs le plus important ce n’est pas vraiment leurs nombres actuel.
C’est la dynamique qu’il faut regarder.
Les courbes.
Et elles annoncent toujours plus, toujours plus vite.

Pour s’en convaincre il suffit de consulter les statistiques du dépistage de la drépanocytose. Elles ne sont désormais plus contestées que par quelques idéologues jusqu’auboutistes.
La drépanocytose. C’est une maladie génétique très particulière, qui n’est dépistée que chez les nouveau-nés à risque. Concernant la drépanocytose, un nouveau-né à risque c’est un nouveau-né issu de parents non-européens. Le pourcentage de dépisté nous donne donc le pourcentage d’enfant issus de parents non-européens.

En 2010, cette maladie a été dépistée sur 31,50% des bébés français.
En 2012, cette maladie a été dépistée sur 34,44% des bébés français.
En 2013, cette maladie a été dépistée sur 35,70% des bébés français.

Cela veut dire que chaque année, le nombre de nouveau-nés non-européens parmi la totalité des nouveau-nés augmente de 1%.

Alors oui c’est vrai, la drépanocytose est parfois détectée chez les Européens de l’Est et les Siciliens ou les Français des DOM TOM. C’est vrai.
Mais les nouveaux nés asiatiques eux, ne le sont pas.
Alors on peut effectivement discuter de l’extrême précision des chiffres.

Ou alors on peut aussi pourquoi pas essayer d’expliquer par toutes sortes de théories ou d’enfumage que tout est normal.
Par exemple on peut imaginer donner comme explication à cette explosion des chiffres que les 68% de nouveaux nés dépistés en région île de France en 2013 ne sont que les enfants d’une politique nataliste secrète menée par les îles de Guadeloupe et la mairie de Palerme pour coloniser la région parisienne.
Ou bien on peut nous expliquer que de toute façon, ces gens sont Français, car en naturalisant à la pelle et grâce au droit du sol la proportion d’étrangers sur notre sol n’a pas augmenté.

C’est tout à fait crédible.

Ou alors on peut tout simplement affronter la vérité en face, et reconnaître par le fait scientifique, par les chiffres qui sont délivrés par des institutions d’état qu’on peut difficilement soupçonner de collusion, que OUI, la France est en cours d’africanisation rapide.

Ainsi, si l’on prolonge les courbes statistiques du dépistage de la drépanocytose c’est entre 2023 et 2025 que le pourcentage de dépistés franchira la barre fatidique des 50%.

Pour être clair, à ce moment-là, 1 nouveau-né sur 2 sera d’origine non-européenne.

A partir de ce point de bascule, les Français de souche deviendront, génération après génération, au fil de la pyramide des âges, un peuple de plus en plus minoritaire.

Dès lors c’est une véritable course contre la montre qui est engagée.

Pas pour convaincre notre peuple de l’urgence. Ou alors pour peu de temps encore.
Car nous le savons, les Français ne sont pas dupes. Ils n’ignorent pas les conséquences au quotidien du processus de changement de population qui est en cours. Et ils le disent.
Dans les sondages, dans les urnes, ils expriment leur peur intime de perdre leur identité, leur rejet total de l’immigration et de l’islamisation du pays.

– 65% des Français pensent qu’il y a trop d’immigrés en France (CEVIPOF 2012),

– 76% des Français considèrent que l’Islam progresse trop en France (IFOP 2011).

– 42% des Français considèrent que l’Islam est une menace (IFOP 2010).

– 55% des Français jugent la visibilité de l’Islam trop importante (IFOP 2010).

– En 1989 33% des sondés se disaient pour la construction de mosquées.
Ils ne sont plus que 18% aujourd’hui (IFOP 2012/2013).

– En 1989 31% des sondés étaient opposés au port du voile dans la rue ils sont
63% aujourd’hui (IFOP 2012/2013).

– 54% des Français trouvent que l’immigration a un impact négatif sur leur pays (IPSOS 2011)

– 84% des Français sont hostiles à l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne (IFOP 2012).
– 74% des Français pensent que l’islam n’est pas une religion tolérante et que la religion musulmane est INCOMPATIBLE avec la société française

Ils le disent à plus de 80%, colons compris, ils le disent à chaque fois qu’ils sont interrogés. Ils en font même leur priorité absolue.

Les Français n’ont pas besoin d’être persuadés sur ces deux questions cruciales que sont l’immigration et l’islamisation. Ils ont maintenant besoin de courage politique, d’action.

Ils ont besoin qu’ici et maintenant un mouvement politique fort puisse leur répondre efficacement et offrir une solution durable et profonde à ce problème qui relève du vital.

Ils n’ont pas besoin d’être convaincus. Ils réclament d’être entendus et réalisés.

Ce n’est pas le moment, alors que les Français sont convaincus par le réel que les préoccupations identitaires sont justes, ce n’est pas le moment de renoncer.
J’ai l’impression, parfois, peut-être à tort, que le seul mouvement politique qui donne encore de l’espoir aux Français hésite. Tergiverse. Se questionne. Se dérobe.
“Oui nous avions raison depuis 40ans, et maintenant que vous nous avez entendu, que vous êtes d’accord, que vous nous soutenez, que vous nous donnez le pouvoir on ne sait plus trop quoi faire”, on “ose pas”. Pire, on “ose plus” même.

Ce n’est pourtant pas le moment d’avoir peur d’avoir raison. Ce n’est pas le moment de fuir ses responsabilités par des diversions, par des reculades, par des compromis. Il est temps de prendre le pouvoir qu’ils nous offrent et de taper

C’est cela qu’attendent les Français. Exécuter leur volonté sans délais et mettre fin au règne du chaos, de la peur, de la violence. Ils réclament du courage. Ils ne veulent pas voir faillir ou paniquer celles et ceux qui peuvent les sauver.
Ils exigent de l’assurance, de la bravoure, de la fermeté dans les paroles et demain dans les actes. Ils veulent de l’énergie, une résolution absolue, une vaillance.

C’est le rôle des identitaires, de rappeler à ceux qui représentent le seul espoir démocratique de ce pays les priorités fondamentales.

Le mois dernier, un sondage le Parisien indiquait que 68% (+24 points en 3 ans) des Français soutenaient la suppression du regroupement familial proposée par le FN.

Ils sont également 67% (+27 points en 3ans) à valider la proposition du Front National de réserver les aides sociales aux Français et 65% pour le retour des Frontières.

Ils sont seulement 28% et 31% à soutenir la sortie de l’UE et le retour au Franc.

En 2011, un sondage Opinion Way demandait aux électeurs FN de citer leurs trois principales motivations de vote.
Ils ont répondu l’immigration, à 78%, la sécurité à 57%, l’islam à 54%.
L’emploi 12%, l’Europe 7%.

Ce n’est donc pas l’idéologie qui porte le vote identitaire d’aujourd’hui – oui j’ai bien dit le vote identitaire, même si le parti sur lequel il se porte croit que ses électeurs sont souverainistes. C’est l’instinct de survie, la pulsion de l’existence en tant que peuple. Une pulsion réveillée par le réel.

A ces deux problématiques, l’islam et donc l’immigration, les identitaires ont toujours porté une solution lucide, pragmatique et sans concession : la remigration, c’est à dire le retour volontaire ou non de la majorité des colons non-européens importés en France ces 40 dernières années. C’est à dire l’inversion des flux migratoires.
“Oui mais la remigration ce n’est pas du sérieux”,
“Les identitaires sont fous !” peut on entendre.

Mais qui est fou ? Je vous le demande qui est fou ?
Celui qui s’acharne à prôner une réconciliation désespérée avec ceux qui agitent les drapeaux algériens alors qu’ils sont la 3e génération, ceux qui affirment baiser notre pays, ceux qui partent faire le djihad et qui sont peut-être parmi les égorgeurs et coupeurs de tête ? »
Ou celui qui pense que ceux qui ont fait le voyage dans un sens, peuvent le faire dans l’autre?

Mais qui est fou ?
Celui qui n’a toujours pas abandonné l’idée d’assécher le torrent migratoire à l’aide de l’éponge républicaine ?
Ou bien celui qui connait l’histoire des pieds-noirs et qui sait que oui, l’assimilation ne fonctionne que sur les individus pas sur les masses et que oui ce qui a été possible en 1962 peut se reproduire en 2021, à savoir la traversée de la Méditerranée en toute urgence ?

Mais qui est fou ?
Celui qui tente désespérément de faire croire que tout est perdu et pense que la préparation de son exil dans une vallée pourra cacher sa lâcheté ?
Ou bien celui qui croit à la capacité des peuples européens à se réveiller et à s’unir face à un danger commun comme ils l’ont fait mille fois dans l’histoire ?

« Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre. » disait Churchill.

Alors à ceux qui savent mais qui trahissent, à ceux qui collaborent, à ceux qui capitulent, à ceux qui fuient ou qui ont peur d’agir. Sachez que la Génération Identitaire ne vous laissera pas le choix.
Nous les Julien, les Thomas, les Elodie, les Maxime, et les Marion, nous les enfants du réel, nous les fils de Jeanne d’Arc et de Charles Martel, nous qui n’avons peur de rien, nous allons faire ce que vous n’avez pas le courage de faire, nous allons nous battre, nous allons sacrifier notre jeunesse et notre vie, comme nos ancêtres ont fait avant nous, pour reconquérir NOTRE terre face à la plus grande menace que notre civilisation multimillénaire n’ait jamais affrontée.

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