La crainte de l’instabilité politique resurgit en Grèce. À la surprise générale, le 8 décembre 2014, le gouvernement a annoncé la tenue de l’élection présidentielle, initialement prévue en février, le 17 décembre. Les marchés ont aussitôt tremblé. Le 9 décembre, la Bourse d’Athènes a chuté de 12,78 %, un plongeon inédit depuis 1987.
La perspective d’élections législatives anticipées donne des sueurs froides aux investisseurs et replonge le pays dans la crainte d’une catastrophe.