La tradition de l’arbre de Noël de l’Elysée remonte à la présidence de Sadi Carnot, en 1889, écrit Georges Poisson dans L’Elysée, histoire d’un palais (2010, éd. Pygmalion). Et depuis, aucun président n’a dérogé à la règle. Francetv info revient sur un demi-siècle de fêtes “qui reflètent aussi les évolutions de la société”. Floris de Bonneville, sur Boulevard Voltaire, analyse cette évolution.
Pour ma part, je pense que le président Hollande, dans sa grande magnanimité, a voulu démontrer que la théorie de Renaud Camus sur le Grand Remplacement était déjà une réalité.
Deux photos qui laissent présager un avenir encore plus sombre que ce qu’ose décrire Eric Zemmour dans son épais ouvrage sur la décrépitude de la France.
Noël 1964 :
Noël 2014 :
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La seconde photo est forcément en couleur puisqu’elle est prise en décembre 2014 dans la cour de l’Élysée où le président Hollande avait convié des jeunes venus de diverses régions de France à venir assister à la mise en lumière de l’arbre de Noël. Et il n’y a pas que la photographie qui est en couleur, mais l’ensemble des enfants représentant la diversité. À une exception près : il n y a pas un enfant blanc…
Erreur de casting des services du protocole élyséen ou volonté délibérée d’illustrer le discours d’inauguration du musée de l’Immigration prononcé la veille à Paris ? […]
Eh oui, Mesdames et Messieurs de la gent journalistique et politicienne qui vivez avec œillères, boules Quies et pince-nez, vous vivez dans votre tour d’ivoire, entourés de vos « ismes », de vos beaux sentiments, refusant toute compassion au bon peuple de souche ou à celui qui s’est intégré si bien qu’on ne le distingue plus que comme français non pas de papier, mais de cœur, d’intelligence et de culture.
Pour vous, le Grand Remplacement à venir est déjà là dans de nombreuses villes et banlieues, et vous trouvez cela parfaitement normal car cela fait partie de la mondialisation et de la médiocratie que vous souhaitez. Car vous ne voulez pas que le peuple ait une âme. Ni un passé. Et encore moins une culture qui lui soit propre.