Joachim Véliocas publie une réédition augmentée d’un ouvrage qui illustre la politique insensée de la France dans la construction de mosquées. Toujours plus nombreuses (une par semaine dit-on), vastes, imposantes. Les mairies donnent des terrains, accordent de généreuses subventions et cerise sur le gâteau, acceptent que des mouvements radicaux, par centaines, les contrôlent.
Ces maires qui courtisent l’islamisme (éditions Tatamis) est à lire toutes affaires cessantes, avec un remontant à portée de main. Il démonte avec minutie la manière dont les politiciens UMPS financent des mosquées qui sont gérées par les ennemis les plus farouches de la démocratie. La première édition de ce remarquable ouvrage a été vendue à près de 10.000 exemplaires malgré une omerta totale des journalistes-militants de France.
Une obsession: l’élection
Selon Véliocas, l’engouement pour les mosquées s’explique par la volonté des politiques de se faire élire ou réélire. «(…) on tente de capter un électorat plus qu’on adhère à l’idéologie islamique». Les musulmans sont de plus en plus nombreux, ils représentent 10% de la
population dans certaines villes. Une tentation à laquelle les politiciens ne résistent pas. Les
socialistes sont les plus enthousiastes, mais l’UMP ne démérite pas. On assiste déjà à des
exemples édifiants de manipulations. En 2008, l’élection du maire UMP de Colmar Gilbert
Meyer a été invalidée, parce qu’il avait envoyé une lettre à l’imam de la ville lui promettant
une subvention de 164.000 euros pour agrandir sa mosquée s’il était élu. Plus tordu: pour
appuyer un prêt de 1,8 million à une association musulmane, l’ex-député Jean-Christophe
Lagarde avoue avoir fait croire à un projet de «salle polyvalente» aux habitants de Drancy:
«Oui, je vous ai volontairement caché que ce serait une mosquée…» […]
Rappel : L’ancien journaliste de Canal + Philippe Gildas se lamentait pourtant il y a 4 ans que Paris manquait de minarets