Dans le contexte de menace terroriste majeure à laquelle la France est confrontée depuis mercredi, la gestion de la protection des personnalités est devenue extrêmement délicate. Au cabinet du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, on se refuse à livrer des noms. «C’est une question de sécurité et nous n’exposerons pas la vie des personnes», déclare au Figaro un conseiller du ministre.
Le sujet est d’autant plus sensible que
«des dizaines de demandes ont afflué à Beauvau en 24 heures, de la part de personnalités se sentant en danger»,