Depuis sa cachette, le graphiste ne voyait rien. Il entendait simplement les voix des frères Kouachi, dont l’un s’est rapproché et a ouvert les portes du placard voisin. “On sait qu’on peut perdre la vie, même quand on est caché dans un coin“, témoigne Lilian Lepère a profité de cette interview pour remercier aussi Michel Catalano, gérant de l’imprimerie, qui l’a prévenu de l’arrivée des deux frères armés.
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