L’État islamique est le premier groupe terroriste qui profite aussi massivement de l’usage des réseaux sociaux. Ses membres ont tous grandi avec Internet.
Sur Facebook ou Twitter, accéder en ligne aux profils et aux comptes des djihadistes qui combattent en Syrie, dont une poignée de Suisses, et à leur propagande est d’une facilité déconcertante.
Durant plusieurs semaines, Le Temps s’est immergé dans ce monde obscur, entre vidéos horrifiantes, appels aux meurtres, humour atroce et codes secrets pour échapper à la censure.
Une enquête de Valérie de Graffenried (Décembre 2014)
Via Theatrum Belli