Sur les réseaux sociaux, des jihadistes diffusent des vidéos de propagande, comme Abu Omar depuis la Syrie par exemple. “Abu Omar est (…) la personne considérée comme le cerveau des dernières attaques en Belgique“, rappelle le journaliste David Thomson, observateur averti de leurs pratiques.
Dans cette cyberguerre, les hackers n’hésitent pas à s’attaquer aux grandes institutions, comme, récemment, le centre de commandement américain au Moyen-Orient. La France a annoncé qu’elle se dotera prochainement de nouvelles armes pour lutter contre les attaques numériques, de plus en plus nombreuses depuis les attentats.
