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Chaque année, les entreprises versent une taxe appelée « taxe d’apprentissage », via un organisme collecteur, à un établissement qu’elles auront choisi. Ce versement doit se faire avant le 28 février.

Cette taxe est un impôt que les entreprises ont obligation de verser afin de financer « les dépenses nécessaires au développement des premières formations technologiques et professionnelles » (article 224 du code général des impôts). Elle représente 0,5 % de la masse salariale.

Avec l’émergence de l’enseignement privé musulman, cette taxe revêt un enjeu très important : si professionnels et employés musulmans se mobilisent efficacement, ce plusieurs centaines de milliers d’euros, voire plusieurs millions, qui pourraient revenir au privé musulman.

Que les chefs d’entreprise qui nous lisent et qui ont des employés fassent en sorte que leur comptable mentionnent un établissement privé musulman de leur choix, éligible à cette taxe. Que les comptables qui nous lisent invitent leur patron à choisir le privé musulman. Idem pour vous lecteurs d’Al-Kanz et employés. Que nul ne néglige sa capacité à agir.

Al Kanz

(Merci à domyos)

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