Sur le chemin de la deuxième mosquée, les deux compères s’arrêtent au foyer malien de la rue Bara. A l’intérieur, un petit marché de fortune, et surtout de nombreux sans-papiers. A la vue de nos caméras, ils se mettent en colère.
“Pourquoi vous débarquez ici sans prévenir avec vos caméras ? Dégagez”, nous lancent-ils. Les esprits s’échauffent, et on nous fait signe qu’il est préférable de quitter les lieux.