Addendum 10/02 :Abdallah Boumezaar, délinquant multirécidiviste, avait un “lourd passé” judiciaire.
Le Point rappelle le passé judicaire d’ d’Abdallah Boumezaar, délinquant multirécidiviste.
Le 26 avril 2000, il écope de trois mois de prison pour vente de produits stupéfiants. Le 29 janvier 2002, Boumezaar est condamné par le tribunal correctionnel de Marseille (Bouches-du-Rhône) à deux mois de prison pour rébellion et usurpation d’identité. Lors d’une rixe il avait frappé les policiers à la tête et au ventre à coups de pieds avant d’en mordre un et usurper l’identité de son frère.
Le 14 décembre 2001, il est condamné par le tribunal de Toulon (Var) à 2 ans et demi de prison dont six avec sursis pour trafic de stupéfiants au sein de la cité de la Berthe. Son sursis sera révoqué le 14 juin 2006. Le 2 juin 2004, interdit de séjour à la Seyne-sur-Mer (Var), il est reconnu par des policiers. Là encore, il utilise le nom de son frère. Et prend la fuite. Il prononcera des menaces de mort contre les policiers. Il sera condamné à un mois de prison.
Le 14 juin 2006, toujours interdit de séjour à la cité de la Berthe, la mère d’Abdallah prévient la police car il séjourne chez elle. Une patrouille avec deux agents féminins intervient. Il fracasse le visage de la sous-brigadier et utilise un poing américain pour asséner un coup au visage d’un élève gardien de la paix. Il est condamné à 4 ans de prison pour violences aggravées par le tribunal correctionnel de Toulon (Var).
Le 9 décembre 2005, il brise une vitre alors qu’il est incarcéré à la prison de la Farlède. Il écopera de trois mois de prison pour destruction de bien affecté à l’utilité publique et en récidive. Le 23 juin 2008, incarcéré, il est trouvé porteur, lors d’une fouille, de stupéfiants au sein même de la prison de la Farlède. Il est condamné à 4 ans de prison par le tribunal correctionnel qui lui applique la peine plancher. Il fera appel et ne prendra que 2 ans. Le jour de sa condamnation, il menace de mort le juge qui préside le tribunal.
Le Point
Le 26 avril 2000, il écope de trois mois de prison pour vente de produits stupéfiants. Le 29 janvier 2002, Boumezaar est condamné par le tribunal correctionnel de Marseille (Bouches-du-Rhône) à deux mois de prison pour rébellion et usurpation d’identité. Lors d’une rixe il avait frappé les policiers à la tête et au ventre à coups de pieds avant d’en mordre un et usurper l’identité de son frère.
Le 14 décembre 2001, il est condamné par le tribunal de Toulon (Var) à 2 ans et demi de prison dont six avec sursis pour trafic de stupéfiants au sein de la cité de la Berthe. Son sursis sera révoqué le 14 juin 2006. Le 2 juin 2004, interdit de séjour à la Seyne-sur-Mer (Var), il est reconnu par des policiers. Là encore, il utilise le nom de son frère. Et prend la fuite. Il prononcera des menaces de mort contre les policiers. Il sera condamné à un mois de prison.
Le 14 juin 2006, toujours interdit de séjour à la cité de la Berthe, la mère d’Abdallah prévient la police car il séjourne chez elle. Une patrouille avec deux agents féminins intervient. Il fracasse le visage de la sous-brigadier et utilise un poing américain pour asséner un coup au visage d’un élève gardien de la paix. Il est condamné à 4 ans de prison pour violences aggravées par le tribunal correctionnel de Toulon (Var).
Le 9 décembre 2005, il brise une vitre alors qu’il est incarcéré à la prison de la Farlède. Il écopera de trois mois de prison pour destruction de bien affecté à l’utilité publique et en récidive. Le 23 juin 2008, incarcéré, il est trouvé porteur, lors d’une fouille, de stupéfiants au sein même de la prison de la Farlède. Il est condamné à 4 ans de prison par le tribunal correctionnel qui lui applique la peine plancher. Il fera appel et ne prendra que 2 ans. Le jour de sa condamnation, il menace de mort le juge qui préside le tribunal.
Le Parisien
Un homme de 32 ans comparaît à partir de demain à Draguignan avec sa compagne de 22 ans devant la cour d’assises du Var pour le meurtre de deux jeunes femmes gendarmes, abattues en juin 2012 à Collobrières après un cambriolage.
Le procès d’Abdallah Boumezaar, accusé de meurtre et d’assassinat avec des circonstances aggravantes, et d’Inès Farhat, jugée pour complicité, doit durer jusqu’au 20 février.
«C’est complètement gratuit, c’est un passage à l’acte surprenant (…), personne ne pouvait imaginer une seule seconde que cela se terminerait avec deux morts», résume Me Jean-Claude Guidicelli qui défend Inès Farhat.
(…) La Dépêche