Parmi ses clients : des groupes de rock anglo-saxons, des revendeurs installés au Japon, en Australie. L’entreprise venait de mettre un pied aux États-Unis. Mais le refus d’un prêt bancaire a sonné le glas du fabricant lyonnais.
Pour écouler ses dernières guitares et basses, l’entreprise casse les prix et les brade à moins 40 %. En une semaine, 450 instruments ont été achetés. Il ne leur en reste plus que 30….
Mais les gérants de Custom 77 n’ont pas dit leur dernier mot : ils voudraient relancer leur entreprise sous une autre forme.