Sans papiers, les clandestins trouvent du travail au noir. Une pratique illégale qui prospère dans une indifférence généralisée. Sur le parking d’un hypermarché en Californie, le scénario se répète : des hommes se précipitent sur des véhicules qui s’arrêtent pour du travail de quelques heures. Les particuliers et les petits patrons viennent chercher leur main d’œuvre.
Des rendez-vous bien connus aux États-Unis. Ceux qui veulent travailler doivent accepter des petits salaires payés sous le manteau. Tout le monde ferme les yeux sur ce marché de l’ombre.