Louis Schweitzer, commissaire général à l’Investissement, est favorable à la proposition grecque de transformer une partie de sa dette en “dette perpétuelle”. C’est à dire que le débiteur paye les intérêts, comme pour toute dette, mais ne rembourse à priori jamais le capital.
“Quand une entreprise a des difficultés, les créanciers se réunissent, et ils voient à quelles conditions l’entreprise peut survivre. La dette perpétuelle, c’est toujours mieux que de laisser crever !“, déclare Louis Schweitzer.