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Fier de ses origines espagnoles, le premier ministre pose en une du Parisien magazine avec une photo de lui enfant, dans les bras de sa mère. Il raconte comment il a «appris à devenir français».

(…) Une histoire personnelle qui le pousse tout particulièrement à se pencher sur les problèmes d’intégration d’aujourd’hui. «On n’est pas français par son lieu de naissance, sa couleur de peau ou ses origines mais parce qu’on adhère à un projet, à des valeurs, à une communauté nationale». L’occasion de ressortir une anecdote: «A l’école, certains de mes amis italiens, portugais et espagnols, souvent de milieux très modestes, ne parlaient pas leur langue natale! Il y avait une marche forcée vers l’intégration, voire l’assimilation».
Manuel Valls estime que «la communauté française repose sur trois piliers: la langue, d’abord, qui doit être une priorité de l’école, une reconquête même. Notre histoire, ensuite (…) Enfin, la laïcité». «Nos ancêtres ne sont pas tous gaulois, mais tous nos enfants seront français», continue le premier ministre. «Il faut accepter la diversité, ne pas nier les histoires personnelles, assumer les origines (…) mais parce que tous nos enfants sont français, ils doivent apprendre à vivre dans une même communauté nationale (…)».

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