Ils ont servi d’interprètes franco-afghan auprès de l’armée française pendant plusieurs années.
Ils sont une cinquantaine. Disent être à ce titre menacés dans leur pays. Aussi ils demandent, sans succès à ce jour, un visa pour la France où ils souhaitent se réfugier.
Si la France s’est refusée jusque là à leur accorder le précieux sésame, l’action entamée par un collectif d’avocats risque fort de donner un écho médiatique à l’affaire qui pourrait constituer un moyen de pression supplémentaire sur le gouvernement.
Merci à Picton