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Dans un rapport sur l’immigration ce sont des Marocaines, Indiennes, Pakistanaises … mais aussi Moldaves et Ukrainiennes. Pour la sociologue Mariagrazia Santagati ce sont pour “des raisons culturelles mais aussi sociales”.
Ils sont plus nombreux que les italiens du même âge : les garçons étrangers de passeport mais résidents en Italie n’étudient pas, ne travaillent pas et n’apprennent pas de métier. On les appelle : Neet, Not en Education, Employment or Entraînement. 34,6% ont entre 15 et 29 ans et viennent des Pays de l’UE et 35,6% sont des extra-communautaires. Plus d’un étranger sur trois est sorti du système scolaire sans avoir de travail et sans non plus en chercher.
Maternités précoces mais aussi marginalisation
Les données présentées par le Ministère de l’Instruction avec la Fondation Ismu à Milan, expriment une autre indication. Un pourcentage élevé de femmes : 67,3%. Surtout à l’intérieur des communautés Marocaine, Bangladaise, Indienne, Moldave, Ukrainienne, Pakistanaise et Sri Lankaise. Deux filles sur trois restent à la maison. A côté des raisons de type “culturel” la sociologue Mariagrazia Santagati, responsable du secteur Éducation de l’Ismu invite à la précaution en soulignant la vulnérabilité sociale mélangeant beaucoup de facteurs différents et difficilement mesurables. La maladie, le handicap, la maternité précoce, les difficultés économiques, la fatigue à s’insérer, des raisons qui éloignent des classes sans mener à un emploi sont multiples. (…)
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