De l’appartement qu’il partage avec dix compatriotes aux longues soirées pendant lesquelles il essuie des centaines de refus plus ou moins polis, en passant par la boutique où il s’approvisionne clandestinement en roses, des journalistes ont partagé le quotidien de Zahir.
Souvent on ne lui répond même pas. Tout juste si on lui jette un regard. Zahir, 26 ans, originaire du Bangladesh, est l’un de ces vendeurs de fleurs à la sauvette qui écument les terrasses des restaurants des grandes villes.
De l’appartement qu’il partage avec dix compatriotes aux longues soirées pendant lesquelles il essuie des centaines de refus plus ou moins polis, en passant par la boutique où il s’approvisionne clandestinement en roses, des journalistes ont partagé le quotidien de Zahir.
De l’appartement qu’il partage avec dix compatriotes aux longues soirées pendant lesquelles il essuie des centaines de refus plus ou moins polis, en passant par la boutique où il s’approvisionne clandestinement en roses, des journalistes ont partagé le quotidien de Zahir.