03/05/15
02/05/15
Le chroniqueur de Laurent Ruquier a donné à son tour sa version des faits sur le clash avec la journaliste au cours duquel cette dernière l’a traité de « con ».
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(...) D'après le chroniqueur, la journaliste a rétorqué «avec aplomb» sur le plateau du talk-show de France 2 «qu'elle n'a pas été condamnée». «Étonnement. L'affaire aurait-elle connu un rebondissement qui aurait échappé à tous? Je lui demande alors si elle a gagné le procès en appel. Elle me répond que oui. Et quelques instants plus tard, excédée, elle tentera de détourner l'attention en choisissant la voie de l'invective en me traitant de “con”. Estomaqué, je choisis alors de cesser l'interview: à mes yeux, l'insulte coupe court à toute tentative de dialogue», se justifie Aymeric Caron.
Afin d'étayer ses informations, le polémiste précise avoir contacté cette semaine la Cour d'appel de Paris et Maître Hosni Maati, l'avocat de Rabia Bentot. Selon Aymeric Caron, ces derniers «confirment deux choses: Caroline Fourest a bien été condamnée le 22 octobre 2014 pour diffamation et l'affaire en appel n'a pas encore été jugée».
Le Figaro
28/04/15
Gros clash à venir samedi dans “On n’est pas couché”. En raison du 1er mai, l’émission a été exceptionnellement enregistrée hier soir, lundi, à Paris. Parmi les invités sur le plateau de Laurent Ruquier, Caroline Fourest, venue promouvoir son livre “Eloge du blasphème” (Ed. Grasset), quatre mois après l’attentat à Charlie Hebdo. Un ouvrage sur “la liberté d’expression et les dangers d’une mondialisation de l’intimidation”, présente l’éditeur.
Confrontée à Aymeric Caron, le ton est tapidement monté dès le premier tour de table en début d’émission. Puis le polémiste a reproché à la journaliste, cette fois installée dans le fauteuil, ses méthodes “malhonnêtes” et l’a attaquée sur certains passages de son livre, notamment des propos rapportés de la militante Rokhaya Diallo. Accusée de tordre la réalité, Caroline Fourest a de son côté reproché au polémiste ses méthodes d’intervieweur, chaque samedi dans “On n’est pas couché”.
(…) Ozap
