04/05/15
Le directeur d’école pédophile de Villefontaine visé par 55 signalements
Quarante-quatre mineurs, ou leurs parents, se sont manifestés depuis la mise en examen du directeur d’école de Villefontaine (Isère), déjà soupçonné de onze viols, a indiqué aujourd’hui le procureur de Grenoble. “Cinquante-cinq mineurs (au total, ndlr) sont concernés. Ils se sont manifestés ou leurs parents l’ont fait. Il peut y en avoir d’autres. Cela ne veut pas dire 55 victimes”, a déclaré Jean-Yves Coquillat, ajoutant que les mineurs qui se sont manifestés depuis le déclenchement de l’affaire ont été auditionnés ou le seraient prochainement.
(…) Le Figaro
26/03/15
Sur le plan politique, l’homme semblait être un citoyen actif. Il s’était engagé à deux reprises pour les élections municipales. La première fois en 2008 sur la liste socialiste de la commune des Avenières. Et la seconde, en mars 2014, sur la liste de gauche de Saint-Georges d’Espéranche.
20minutes.fr
Seize autres petites victimes se sont manifestées
[…] Dès mercredi, les parents de l’école affirmaient que la grande majorité des enfants de cette classe avaient été victimes. Ce qui se confirme. Ce jeudi après-midi, une source judiciaire précise que les familles de seize autres enfants se sont manifestés auprès des enquêteurs.Des enfants de l’école du Mas de la Raz mais pas uniquement. Des enfants des deux écoles où cet homme a exercé en tant que directeur (Buisson Rond et le Ruisseau à Villefontaine) auraient également subi les agissements pervers de leur instituteur. Les plaintes devraient être recueillies dans les jours à venir. […] Source
25/03/15
L’enseignant avoue
24/03/15
Le directeur d’une école primaire de la commune nord-iséroise de Villefontane, soupçonné de viols sur mineurs, a été interpellé ce lundi et placé en garde à vue.
«Il a été interpellé ce matin pour des faits de viols sur mineurs. Sa garde à vue a été prolongée», a déclaré le procureur de la République de Vienne, Matthieu Bourrette, confirmant une information du Dauphiné Libéré.
Le suspect, qui nie les faits, aurait imposé «par surprise» des fellations à au moins deux de ses élèves dans le cadre de ce qu’il appelait «un atelier du goût» durant lequel les enfants les yeux bandés, devaient identifier des «choses» que l’enseignant leur faisait goûter. Les faits incriminés se seraient déroulés au fond d’une salle de classe, derrière un paravent.
(…) leprogres.fr