A Roubaix, une famille est victime de harcèlement de la part d’une bande de jeunes pendant durant un an alors qu’elle vit à seulement 200 mètres du commissariat. Cambriolages, menaces, voiture brûlée, elle s’est vue dans l’obligation de quitter temporairement son domicile.
Les personnes à faible niveau de diplôme et appartenant aux classes populaires sont celles qui souffrent le plus de ces violences quotidiennes.
Pour préserver la paix sociale, certaines populations sont oubliées par les pouvoirs publique. Selon Alexandre Giuglaris : “Ceux qui dégradent l’espace public sont généralement plus écoutés que ceux qui ne cassent rien”.
Ce phénomène révèle une différence du traitement des populations en termes de lutte contre l’insécurité.
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Merci à jojo2