Sur son site internet, le ministère irakien de la Défense diffuse des images du raid aérien contre la «Mosquée des martyrs» dans le village d’Al Iyadhiya, près de Tel Afar, où Afari était enseignant et prédicateur. Il n’a pas été possible de confirmer de source indépendante la mort du dirigeant islamiste. A Washington, le Pentagone a dit ne pas être au courant. Le département américain de la Justice offre jusqu’à 7 millions de dollars pour des informations conduisant à Afari.
24heures.ch
Abou Alaa al Afari, considéré comme le second de l’État islamique, serait mort dans un raid aérien contre mosquée dans le nord de l’Irak . De son vrai nom Abdoul Rahman Moustafa Mohammed, ce Turkmène est originaire de la ville de Tel Afar, dans le nord-ouest de l’Irak. Il est considéré comme le second du «calife» autoproclamé de l’EI, Abou Bakr al Baghdadi.