Malgré la demande insistante des habitants polices municipales et nationales n’interviennent pas pour faire cesser le bruit des quads et des percussions.
Le secteur est résidentiel. Situé en bordure de la zone verte de Pech David, la vie y serait vraiment cool, si avec l’arrivée des beaux jours, le bruit ne venait troubler la tranquillité quasi rurale de ce quartier au nom de village. «Dès les premiers beaux jours de mai et jusqu’à octobre, c’est le même scénario. Dans la journée quads et moto sillonnent les allées de la zone verte. Et le soir ce sont les tablas et autres djembés des percussionnistes qui prennent le relais», se plaint un habitant du quartier.
Robert Farret, président de la Maison de quartier de Pouvourville, confirme. «Quads et motos de cross, confondent la zone verte avec un terrain d’entraînement. Nous avons alerté la police municipale qui nous a expliqué qu’elle ne pouvait pas y faire grand-chose. Elle nous a renvoyés vers la police municipale qui nous a répondu la même chose.» […]
En ce qui concerne les percussions, dont les concerts improvisés se prolongent tard dans la nuit, «cela fait des années que nous demandons à la police municipale d’intervenir pour faire de la médiation. Mais personne ne vient. Je connais des gens qui veulent vendre leur maison parce qu’ils ne supportent plus le bruit», poursuit le président de la Maison de quartier qui promet qu’il ne perd pas encore espoir. […]
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