Ils sont soupçonnés d’avoir «surfacturé, facturé des actes fictifs et détourné des règles de collaboration et de remplacement». La CPAM a été alertée par «l’activité atypique» de cet infirmier «10 fois supérieure» à celle de ses confrères.
L’infirmier disposait de revenus mensuels évalués à 15.000 euros par mois et menait grand train. Selon les enquêteurs, le préjudice subi par la caisse primaire de l’assurance-maladie (CPAM) du Rhône est estimé à plus d’un million d’euros sur une période allant de juillet 2010 à décembre 2014.
Le Dauphiné
(Merci à Steven)