Des milliers de Tunisiens sont déjà en Syrie ou en Irak pour rejoindre les rangs des jihadistes. Ces départs sont facilités notamment par un réseau de mosquées radicales qui a longtemps échappé au contrôle de l’État.
L’année dernière, le gouvernement s’est lancé dans une opération de reprise en main de centaines de mosquées “hors de contrôle”.
En Tunisie, il y a trois mois, les attentats contre le musée du Bardo ont mis en lumière l’implantation des réseaux jihadistes dans le pays.