Convoqué mardi pour avoir mordu un patron de bar au doigt, un homme de 33 ans était de retour au tribunal de Rennes, jeudi, pour des insultes à caractère racial.
Jeudi, cet homme de 33 ans comparaissait pour la troisième fois de l’année devant le tribunal correctionnel de Rennes.
Ses ennuis avec la justice ont débuté le 25 janvier, vers 7 h, lorsqu’il a été surpris seul, ivre et nu, dans une salle de sport de Rennes par une jeune femme. En train de chanter et de montrer ses fesses.
Son interpellation avait été houleuse : l’homme avait craché, invectivé, insulté et frappé les policiers. Jugé deux jours plus tard en comparution immédiate, il avait été condamné à huit mois de prison, dont cinq avec sursis et mise à l’épreuve.
Mardi, il comparaissait à nouveau : un témoin l’a identifié comme étant l’homme qui a violemment mordu le doigt d’un patron de bar, près de la dalle du Colombier. L’affaire a été renvoyée pour expertise psychiatrique au 8 juillet.
De retour à la barre jeudi, il était cette fois jugé pour des injures racistes proférées lors de son interpellation en janvier, qui n’avaient pu être jugées en comparution immédiate, car régies par le droit de la presse.
« Je suis quelqu’un de très poli, a précisé le prévenu. Vous imaginez bien que, vu ma couleur, je ne suis pas raciste. »
Pourtant, au commissariat, entre deux crachats, il avait copieusement insulté un agent, le traitant, entre autres, d’esclave. […]
Ses ennuis avec la justice ont débuté le 25 janvier, vers 7 h, lorsqu’il a été surpris seul, ivre et nu, dans une salle de sport de Rennes par une jeune femme. En train de chanter et de montrer ses fesses.
Son interpellation avait été houleuse : l’homme avait craché, invectivé, insulté et frappé les policiers. Jugé deux jours plus tard en comparution immédiate, il avait été condamné à huit mois de prison, dont cinq avec sursis et mise à l’épreuve.
Mardi, il comparaissait à nouveau : un témoin l’a identifié comme étant l’homme qui a violemment mordu le doigt d’un patron de bar, près de la dalle du Colombier. L’affaire a été renvoyée pour expertise psychiatrique au 8 juillet.
De retour à la barre jeudi, il était cette fois jugé pour des injures racistes proférées lors de son interpellation en janvier, qui n’avaient pu être jugées en comparution immédiate, car régies par le droit de la presse.
« Je suis quelqu’un de très poli, a précisé le prévenu. Vous imaginez bien que, vu ma couleur, je ne suis pas raciste. »
Pourtant, au commissariat, entre deux crachats, il avait copieusement insulté un agent, le traitant, entre autres, d’esclave. […]
Source
Merci à Nevenoe
