Lorsque Michel Denisot l’interroge sur la montée du Front national en France, Vincent Cassel semble chagriné. Il tente de trouver les mots pour qualifier les membres du mouvement politique d’extrême droite: «Je vois une bande de mecs grossiers, vulgaires, incultes, énervés. C’est le flip quoi», juge-t-il avant de faire référence à la violente altercation entre Bruno Gollnisch et les équipes du Petit Journal lors du dernier défilé du 1er mai. «C’est dramatique. Je ne sais même pas comment les gens ont envie de voter pour ces gens-là. Ça fait flipper».
Merci à Simon_McKay