Moins de deux heures après l’attentat perpétré en Isère ce vendredi 26 juin, presque tout le parti frontiste a réagi. Tantôt pour fustiger d’emblée l’inaction du gouvernement, tantôt pour le qualifier de “complice”. Marine Le Pen, elle, a aussitôt publié un communiqué pour demander, “immédiatement”, des “mesures fermes et fortes” afin de “terrasser l’islamisme”.
La présidente du FN demande, outre sa récurrente requête de “rétablir nos frontières nationales”, que “l’ensemble des étrangers suspectés de fondamentalisme islamiste” soient “au plus vite expulsés du territoire nationale”. Non pas “suspectés de terrorisme”, mais bel et bien de “fondamentalisme”.
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