Ils étaient des milliers dans les rues d’Athènes à fêter la victoire du “non” (Όχι) au référendum.
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Oxi !” (Non !). Laminés par cinq ans de crise économique, les Grecs ont rejeté, lors du référendum de ce dimanche 5 juillet, les offres d’aides financières des créanciers européens qui exigeaient, en retour, de nouvelles mesures d’austérité, de nouveaux impôts et de douloureuses réformes. Ce vote va-t-il aider à mettre fin à la tragi-comédie grecque ou la faire tourner au drame ?
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Selon le journal Kathimerini qui cite le ministère de l’intérieur : 59,7 % pour le non, 40,3 % pour le oui après un dépouillement d’un peu plus de 7 % des bulletins. La participation serait au-dessus de 50 %, selon les mêmes chiffres.
Le Financial Times indique qu’un “sondage inédit de dernière minute” montre un résultat serré, légèrement en faveur du “non”, rejetant ainsi une offre de la dernière chance de sauvetage par la créanciers de la Grèce. Entre 51 et 53 % des électeurs soutiendraient ainsi l’appel du premier ministre Alexis Tsipras.
