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À Calais, la plupart des immigrés clandestins veulent rejoindre la Grande-Bretagne, mais certains ont fait des demandes d’asile pour rester en France. Derrière la bretelle d’accès au port de Calais, plus de 3.000 migrants ont petit à petit organisé leur vie.

On y trouve des échoppes, une église et même une école. Des volontaires leur proposent des cours de français dispensés dans des camps de fortune. Savoir saluer, se présenter, connaître les parties du corps, pour Véronique Soufflet, institutrice bénévole, il faut repartir de zéro.

Dans cette école particulière, les élèves sont studieux. Les migrants s’efforcent d’acquérir les bases pour comprendre ce nouveau pays où ils cherchent à faire leur place et se reconstruire après avoir tout perdu.

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