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11/08: témoignage de la victime + l’agresseur condamné à trois mois de prison ferme.

« Il était environ 17 h 40 et je venais de passer l’après-midi dans mon chalet sur la plage de Calais, raconte-t-elle aux policiers. J’étais sur le point d’arriver sur le parking et il m’a demandé où se situaient les douches. Je lui ai répondu. Il est parti dans cette direction puis il a fait demi-tour en arrivant sur moi par-derrière. Il m’a fait une clé de bras, m’a traînée jusqu’à un chalet où il a commencé à me toucher la poitrine puis les hanches. J’ai essayé de me débattre, j’ai appelé au secours. Des gens sont passés mais ils ne m’ont pas aidée. J’ai tenté de me défendre mais j’avais encore mes sacs dans les mains et je tenais mon chien en laisse. Je lui ai demandé d’arrêter en criant, il a eu peur et il a pris la fuite ». C’est le père de la victime qui repère l’auteur présumé de l’agression et permet son interpellation.”

En garde à vue, Nabeel Mohammed Edris, Érythréen de 29 ans résidant en Allemagne depuis deux ans, nie les faits : « C’est vrai que j’ai croisé cette femme, mais je n’ai jamais commis d’agression sexuelle. Elle tenait son chien en laisse, j’ai même fait un écart pour la laisser passer . » Une défense qu’il réitère devant le tribunal correctionnel, qui le jugeait ce lundi en comparution immédiate. À la barre, la victime maintient elle aussi sa version, ajoutant que « d’autres femmes ont été importunées par monsieur. Il s’est promené tout l’après-midi avec un caleçon de bain en allant voir les jeunes femmes qui prenaient le soleil. »(…)

Le tribunal a condamné le prévenu à trois mois de prison ferme avec maintien en détention. Il aura interdiction de se présenter dans les départements du Nord et du Pas-de-Calais pendant trois ans. (…)

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Merci à Bobbynette


10/08

L’agression s’est produite vendredi vers 18h10, à Blériot-Plage. Une femme marchait dans la rue, lorsqu’un migrant l’aurait agressée sexuellement. Les forces de l’ordre ont pu interpeller l’individu rapidement, puis l’ont placé en garde à vue.

Les services de police ne préfèrent pas communiquer davantage, compte tenu de la sensibilité du dossier. (…)

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