Ils l’ont déjà surnommée “la grève des empreintes.” Voilà ce qui se passe actuellement à Rovigo, où de plus en plus de réfugiés refusent de se soumettre à la procédure d’identification.
La police de la capitale vénitienne a décidée de ne pas recourir à la force […]
Beaucoup de migrants refusent de se faire ainsi identifier dans l’espoir de traverser la frontière, et de soumettre ensuite une demande d’asile dans un autre pays européen. […] Le temps que la plainte consécutive au refus de se soumettre à la prise d’empreintes soit étudiée, les immigrants, non identifiés, sont libres de se déplacer comme ils le souhaitent.
Traduction FDS
Merci à Mielrubis