Des milliers de clandestins ont franchi la frontière hongroise ces derniers jours, mais leur calvaire est loin d’être terminé. Certains choisissent de passer clandestinement pour ne pas faire leur demande d’asile en Hongrie, mais plutôt en Allemagne ou en Scandinavie.
D’autres se retrouvent parqués dans des trains hongrois sans savoir où ils vont, ni pour combien de temps. “C’est un pays européen, on ne peut pas traiter des gens comme ça. Nous ne sommes pas des animaux“, a témoigné Icham, réfugié Syrien.