Pour supporter la pression souvent infernale qui règne dans les cuisines des restaurants, les petites mains des grands plats ont parfois recours à la drogue, c’est un secret de Polichinelle dans le milieu de la restauration.
Selon une étude de l’Institut d’éducation et de prévention pour la santé, près de 10 % des salariés de l’hôtellerie et de la restauration auraient déjà consommé de l’héroïne.