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En France, des municipalités PS se disent prêtes à accueillir des réfugiés et des associations organisent des distributions de vêtements. D’autres proposent des solutions concrètes pour venir en aide aux clandestins sans toit.

C’est le cas du site internet CALM (pour “Comme à la maison”), créé par l’association Singa, permet de mettre en relation des réfugiés mal logés ou sans domicile fixe et des particuliers. Depuis quelques jours, les propositions d’hébergement affluent dans cette association du nord de Paris : “C’est absolument incroyable. On a reçu plus de 1 300 propositions”, explique Nathanaël Molle, cofondateur du projet CALM.

Marie, une jeune femme de 25 ans qui héberge un demandeur d’asile dans son appartement. “Pour moi, c’était comme une évidence […], ça s’est fait très simplement, très facilement “, explique-t-elle.

Dans une petite ville de Haute-Garonne, à Portet-sur-Garonne le maire, Thierry Suaud a lui aussi décidé d’accueillir des clandestins dans des logements sociaux vacants. 10 autres communes du département se sont portées volontaires, tout comme Paris, Strasbourg et Lille.

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