Comment protéger efficacement les sites industriels sensibles d’une éventuelle infiltration des activistes musulmans fondamentalistes ? C’est la question que se posent les plus hautes autorités de l’Etat après l’arrestation par les services antiterroristes, à la fin juillet, d’un homme de 23 ans fiché S et travaillant pourtant à la plate-forme chimique du Pont-de-Claix, un établissement de la banlieue grenobloise classé Seveso.
Selon les informations du Dauphiné Libéré, le suspect fait partie d’un groupe de trois hommes mis en examen à la fin juillet par un magistrat parisien pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste », un quatrième ayant été laissé libre après 24 heures de garde à vue à la suite d’un vice de procédure.
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