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Deux mille hommes, femmes et enfants, principalement des Syriens, attendent depuis mardi dans et autour de la ville turque d’Edirne de pouvoir passer en Grèce pour poursuivre leur périple. Les uns se sont installés en bordure de l’autoroute ; d’autres, autour du stade. Car la frontière leur est barrée.

Ils sont arrivés par voie terrestre, un moyen plus sûr que la voie maritime. Mais ils sont maintenant bloqués. “Nous ne voulons pas aller à Ankara ou ailleurs en Turquie, nous voulons traverser la frontière”, s’exclame l’un d’eux, portant son enfant, devant un rang de policiers casqués et dotés de bouclier.

Edirne est la dernière grande ville turque avant la frontière avec la Grèce et la Bulgarie. Elle a ainsi toujours été un point de passage privilégié par les réfugiés en route vers l’Europe. […]

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