Après les 200 places trouvées cet été pour les demandeurs d’asile dans la région, un millier d’autres devraient suivre dans les deux ans à venir.
Il va donc falloir trouver des places supplémentaires pour les demandeurs d’asiles venus pour la plupart de Syrie, d’Irak et d’Érythrée. […]
En revanche, une fois leur situation clarifiée, les réfugiés sont libres d’aller et venir sur tout le territoire. Il n’est donc pas sûr que le millier de migrants accueillis en Auvergne restera là pour reconstruire leur vie.
Merci à Asimov