Une requête de l’association El Fath, qui réclame l’ouverture définitive de la mosquée de Fréjus, a été déboutée ce lundi par le tribunal administratif. Statu-quo, en attendant le jugement sur le fond.
Un nouvel épisode judiciaire, cette fois-ci en faveur de David Rachline, s’est soldé ce lundi par le rejet d’un nouveau référé-liberté, déposé le 15 octobre dernier par l’association El Fath, laquelle demandait l’ouverture définitive de la mosquée de la Gabelle.
Une requête qui faisait suite à la décision implicite de refus du maire de Fréjus de délivrer une autorisation d’ouverture.
Dans son ordonnance, le juge des référés du tribunal administratif de Toulon a notamment considéré que cette décision du premier magistrat n’empêchait pas “l’exercice effectif d’une liberté fondamentale” (en l’occurrence, la liberté de culte) et qu’il n’y avait pas “d’urgence caractérisée” qui rendrait nécessaire l’intervention dudit juge.