Ces quatre derniers mois, le parti pro kurde HDP et ses soutiens ont été la cible de trois attentats à la bombe à Diyarbakir, Suruc et Ankara. Toutes ces attaques ont été attribuées par les autorités à l’organisation de l’État islamique, alors qu’il n’y a eu aucune revendication.
Toujours selon les autorités, les kamikazes étaient originaires d’Adiyaman, une ville du sud-est de la Turquie, considérée comme “le nid” des combattants islamiques dans le pays.