Le jeune homme comparaît pour le viol d’une femme de 18 ans en 2014 à Évry, commis avec trois complices âgés de 13 ans à 15 ans. La victime avait enduré des sévices d’une violence inouïe.
Un avocat du barreau de l’Essonne n’hésite pas à qualifier ce dossier comme « le plus sensible traité par le parquet d’Évry (Essonne) depuis vingt ans ». Le 30 mars 2014, une jeune femme de 18 ans était violée et torturée à la sortie de la gare d’Évry-Courcouronnes, par quatre adolescents de 13 à 17 ans, dont trois frères d’origine turque.[…]
Les faits remontent au 30 mars 2014. Il est une heure du matin lorsqu’une jeune femme de 18 ans, qui rentre d’une soirée passée à Paris, sort de la gare RER d’Évry-Courcouronnes. Selon Le Parisien, elle est accostée par quatre individus, armés de bombes lacrymogènes, d’un tournevis et d’un brise-vitre. Ils lui volent son téléphone portable. L’aîné de la bande entreprend alors de la fouiller. Il lui dérobe ses bijoux et se livre à de premiers attouchements sexuels.
Elle est alors entraînée par le groupe dans le parc voisin des Coquibus. Pendant près de deux heures, la jeune femme va subir un véritable calvaire. L’aîné la viole pendant que les autres la frappent à coups de bâtons. Puis c’est à leur tour d’abuser de la victime. Attachée et bâillonnée, rien ne lui sera épargné. À la fin de cette séance de torture, ils la frappent à coups de pieds et de poings. Puis ils finissent par l’abandonner en pleine nuit et la menacent de mort si elle évoque les faits qui se sont déroulés. […].
Merci à marine38