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Des attaques simultanées, une prise d’otages, menées par plusieurs tireurs et au moins un kamikaze: c’est le scénario-cauchemar, que craignaient depuis des mois les services antiterroristes, qui s’est déclenché vendredi soir à Paris.

Au cours des dernières semaines, responsables et experts avaient prévenu que des attentats islamistes, d’une ampleur sans précédent, se préparaient contre la France et seraient quasiment impossibles à déjouer.
“Le thermomètre grimpe. Aujourd’hui, leur but est de tenir dans le temps, pour que les médias puissent s’accrocher à l’événement, le diffuser en direct pour un maximum de publicité”, confiait récemment, sous couvert d’anonymat, un haut responsable de la lutte antiterroriste. “Nous craignons désormais des attaques à la kalachnikov, qui vont durer”.
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Dans l’équipée folle des tireurs, entre le 10e et le 11e arrondissement, les témoins les ont entendu crier “Allahou akbar” et peut-être “c’est pour la Syrie”. Du coup, les policiers qui hésitaient, au début des fusillades, entre l’hypothèse de djihadistes et celle de règlements de comptes, avec une nette option sur la première, sont désormais persuadés qu’il s’agit bien “d’actes de terrorisme, d’attentats simultanés contre des endroits ciblés”. Le plan “multi-attentats” élaboré depuis des années avec la zone de défense en cas d’attentats simultanés a été déclenché.
La police a bien du mal à évaluer le nombre de tireurs disséminés entre Paris et la Seine Saint Denis. Il semblerait que l’une des explosions à Saint-Denis aux abords du Stade de France, précisément rue Jules Rimet, soit l’oeuvre d’un kamikaze. On ignore encore si c’est le cas également de l’homme déchiqueté devant le Mc Donald.
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