« Quand plus de dix ans après, vous vous souvenez aussi bien du nom d’un élève, ce n’est pas bon signe », souffle au téléphone cet ancien membre du personnel éducatif de lycée Georges-Brassens à Courcouronnes (Essonne). […]
Du kamikaze du Bataclan, elle se rappelle surtout « d’un élève extrêmement difficile, qui posait problème. A l’époque, on ne parlait pas de radicalisation, ça n’existait pas. Mais il faisait partie de cette vague de jeunes qui cumulaient les absences, n’avaient rien à faire de l’école et qui oscillaient entre rébellion et incivilités, que ce soit avec les profs ou les autres membres du corps enseignant », note-t-elle.
C’est dans le quartier de La Madeleine qu’a vécu Ismaël Omar Mostefaï
« Il s’est radicalisé à Chartres », a indiqué hier le maire (LR) Jean-Pierre Gorges, ajoutant que la police l’avait « repéré » en 2010. « Tout le monde est parti en 2012 », confirmeune ex-voisine d’une famille dont le père « portait la barbe » et la mère « le foulard »
Merci à GastonIV